Et surtout celle du cœur.
Que nous soyons capables de regarder vraiment.
De discerner l’authentique du factice.
Quand la duplicité s’habille d’innocence,
Le loup se cache sous l’habit du berger.
Et sous la brillance des mots, souvent le grain est vide.
Qui croire, mon Dieu ?
Des hommes sentencieux nous assaillent,
Ils nous prédisent de sombres lendemains.
D’autres nous invitent à rechercher,
L’harmonie primitive de l’Eden perdu.
Que croire ?
Les fleuves sont difficiles et les passeurs mercantiles.
Ouvre nos yeux au discernement.
« N’éteignez pas l’Esprit… mais discernez
la valeur de toute choses… »1 Thessaloniciens 5, 19-21
Merci Bernard pour cette belle photo où nous pouvons désormais vous imaginer.
RépondreSupprimerMarci aussi pour cette prière qui accompagne nos interrogations et que je reprendrai, si tu le permets lors de notre prochaine rencontre de l'ACAT jeudi 16.
Bien sûr Edmond tu peux utiliser ce texte
RépondreSupprimerAvec Amitiés,
BA
magnifique Bernard ! Merci pour alimenter nos reflexions
RépondreSupprimerFrancoise fait de la pub bien méritée pour ton blog !